Pouvoir être tous les jours sur un terrain de hockey, c’est pour eux un rêve d’enfant qui se réalise.
Tom : « Depuis tout petit je rêve de ça. Pourtant ça n’existait pas encore à l’époque. La chance que j’ai eue est d’y avoir cru très tôt. On ne savait pas trop comment le hockey allait évoluer... Je me suis beaucoup entraîné, j’ai continué à y croire et finalement ça a payé. Aujourd’hui, mes proches sont les premiers à dire que j’ai eu raison. Je suis un peu un des premiers en Belgique et aujourd’hui, mon rêve d’enfant s’est réalisé. »
Jill : « Pour y arriver, c’est vraiment la passion qui fait la différence. Sans celle-ci, il vaut mieux s’arrêter. La clé c’est qu’on adore ce qu’on fait. Je crois que ça se voit quand on nous voit jouer. »
Tom : « La remise des médailles à Rio. C’est assez indescriptible comme expérience. Tu te retrouves sur ce podium et tu vis un chamboulement complet dans tes émotions. On repense en une fraction de seconde à tout ce qu’on a vécu, tout ce qu’on a traversé, les moments plus faciles et les moments plus durs. Au moment où j’ai choisi d’arrêter mes études pour me consacrer au hockey, grâce à l’aide que nos parents nous ont apportée. Tous ces moments qui ont fait en sorte qu’on se retrouve sur ce podium aux jeux olympiques. C’était un moment très fort. »
Jill : « Cet été avec notre première médaille d’argent à la Coupe d’Europe. Ces dernières années, l’équipe avait mis ses nerfs à rude épreuve. On a raté les jeux olympiques à 30 secondes près... Là c’était la première fois où on réussissait enfin à briser le cercle vicieux de la défaite. Nous avions enfin ce petit bout de métal autour du coup. Tout reprenait un sens, pourquoi on avait continué, pourquoi on n’avait pas arrêté de s’entraîner dur. C’était un boost qui nous a donné une énergie incroyable pour des mois et des mois. »
Tom : « Aspria me donne la chance de m’entraîner dans des conditions idéales. La sport appelle beaucoup d’entraînement mais c’est aussi de la relaxation et se sentir bien. Dans un centre comme Aspria, on a le luxe de pouvoir combiner les deux : des plateformes d’entraînement variés et un espace bien-être à la fois. Il m’arrive aussi de venir à Aspria après un entraînement intensif, juste pour me relaxer. »
Jill : « C’est super complet. Mais en plus de l’entraînement ou la relaxation, j’ajouterai la récupération et aussi que la nourriture est bonne et saine. »
Chacun possède son propre mantra pour se galvaniser dans les moments importants que ce soit pendant un match ou dans le privé.
Jill: « It’s a beautiful day and I can see it. Pour notre première qualification aux jeux olympiques, notre coach de l’époque nous invitait à visualiser notre rêve, à y croire. Si on peut visualiser les choses, on se rend compte des moments qu’on est en train de vivre et on peut atteindre ce qu’on veut. C’est quelque chose que j’applique dans mes choix de vie, tous les jours, et qui m’aide à les vivre au maximum. »
Tom : « Pour moi, c’est plus quelque chose qui revenait avant les matchs des Jeux Olympiques de Rio. « The pride of the shirt ». Le coach nous parlait de la chance qu’on avait de porter les couleurs belges. On donnait le meilleur de nous-même pour montrer qu’on méritait de porter ce maillot sur le terrain. »